Les ethines de Talaris (Orphée Médiéval)

Les Alsaloriens

La région nord est particulièrement instable. Sa position excentrée et la pointe qu’elle forme dans l’Empire Ottrota fait de cette dernière une place forte constamment sous surveillance. La région nord a été confiée aux Alsaloriens, qui, s’ils sont de piètres voyageurs et marchands, sont par contre des combattants hors pair.

A) ASPECT PHYSIQUE
La chose la plus frappante quand, pour la première fois, il est donné de pénétrer dans un village à forte proportion d’Alsaloriens, c’est la taille et la corpulence moyennes de ces gens-là. Il n’est pas rare de rencontrer des individus pouvant mesurer 2,10 m pour 150 Kilogrammes. Même les femmes sont largement supérieures à la moyenne (des autres hommes du Royaume ! ). Pour ce qui est de l’aspect proprement dit, il n’y a pas de standard vraiment établi. Ils sont bruns, blonds, châtains ou roux ; les yeux peuvent être marron, bleus ou gris, l’éventail est large.

B) TRAITS PSYCHOLOGIQUES
Ce sont des gens casaniers et peu enclin au voyage. Le compagnonnage n’est pas pour eux une panacée. L’obligation qui est faite de quitter la famille et le village et souvent une épreuve, les femmes pleurent et les hommes y vont tous de leurs conseils paternels.
Durant toute sa période de compagnon, le jeune Alsalorien pense à son “ chez lui ”. Ce trait disparaît dès qu’il se fixe avec femme et enfants. De ce jour, il considère sa nouvelle demeure avec le même attachement, même si c’est à l’autre bout du pays.
Ils sont bons vivants, mais n’ont rien de rustre. La vie est pour eux une source constante d’étonnement. Ils n’ont pas, comme on pourrait le penser, de propension à la violence. Il est possible de les comparer à une population de bienheureux. Le problème le plus évident quand on rencontre un alsalorien, c’est de pouvoir faire connaissance, il a souvent peur de vous. Ultérieurement ce sont de bons amis qui partagent sans compter.

C) HABITUDES CULTURELLES
Si leur caractère profond est relativement non violent, les habitudes qu’ils ont prises après plusieurs décennies de guerre presque constante à lutter contre l’Empire, en ont fait de formidables guerriers. Chez eux, les foires d’été sont l’occasion de mettre en œuvre tout leur talent de combattant au bâton ou au corps à corps. Ils restent quand même très fair play qu’ils perdent ou qu’ils gagnent. La seule chose qu’il faille éviter c’est de tricher ou de tenter de les acheter.
La particularité la plus déroutante vient du fait que ce sont les jeunes femmes qui ont l’habitude de “ tourner autour des hommes ”. Encore une habitude prise durant les périodes de luttes armées. Les combattants étaient tellement tendus et fourbus, qu’ils en oubliaient ce qu’était la vie de famille.[u]

Les Blitzkrigers

Cette peuplade possède la particularité d’être extrêmement curieuse et possède dans ses rangs les meilleurs explorateurs du pays. Comme de plus ils sont d’excellents guerriers, ils ont reçu la direction de la région ouest, la Cordillère du rempart. Vers laquelle ils organisent fréquemment des expéditions de reconnaissance afin de reculer la frontière.

A) ASPECT PHYSIQUE
Les Blitzkriegers ont une forte tendance à être blond aux yeux clairs. De taille et de corpulence normale, ils affectionnent les cheveux et une barbe longue. Les cheveux étant attachés par une bague de cuir. De plus, ils ont un système pileux particulièrement développé.

B) TRAITS PSYCHOLOGIQUES
Ils sont toujours très enjoués. La seule façon de les voir maussade est de les obliger à rester sédentaires plus de quelques semaines. Là, leur constante bonne humeur à tendance à se transformer en morosité. Ils perdent rapidement leur goût de vivre. Si cet état de fait se prolonge la modification de comportement devient irréversible.
Les seuls membres vraiment représentatifs de cette ethnie sont des personnes ayant une activité mobile. On trouve des caravanes entièrement constituées de Blitzkrigers. De même une organisation spécifique s’est mise en place sur la façon de gérer et de surveiller les frontières est du pays. Les contingents stationnaires se renouvellent plusieurs fois par an afin de ne laisser personne en place trop longtemps.
Arrivé à un certain âge, il est de plus en plus difficile de trouver les moyens de se livrer à de grandes expéditions. C’est pourquoi en se résignant définitivement aux voyages, les anciens, se contentent bien volontiers des visites de voisinage.

C) HABITUDES CULTURELLES
Issus d’un peuple strictement nomade, la nécessité de limiter l’ampleur des voyages s’est avéré particulièrement difficile à faire accepter. C’est pourquoi les Blitzkrigers ont adopté une nouvelle activité : l’exploration.
.Ils apprécient aussi la garde des enfants afin d’en faire la prime éducation. Si par hasard, un enfant d’une autre ethnie devait être éduqué par un “ grand-père ” Blitzkieger, celui-ci aurait le même besoin de découverte. Les histoires héroïques véhiculées par les compteurs de cette ethnie enflammeraient l’esprit de n’importe quel enfant.
Ils ont une forte préférence pour les vêtements et décorations de couleurs vives. Même les armures sont fréquemment peintes de symboles géométriques très vifs. Ces derniers sont rarement accompagnés de bouclier. Le Blitzkrieger affectionne l’arme à 2 mains, que ce soit l’épée, la hache, la masse ou le fléau.

Les Énolans

L’accès à la mer n’est possible qu’au sud du pays. C’est donc cette région qui a été donnée au peuple Énolan, cette ethnie possède les côtes, car elle voue une passion sans borne pour l’élément marin. Ils sont les meilleurs constructeurs de bateaux qui soient.

A) ASPECT PHYSIQUE
Il est difficile de les confondre avec quelque ethnie que ce soit. La particularité la plus frappante et corpulence massive. Bien que de poids tout à fait normal, ils sont de petite taille (variation obligatoire de - 5 cm à la taille), À l’opposé, leur capacité pulmonaire est largement supérieure à la moyenne. Ils sont donc capables de rester bien plus longtemps en apnée que les autres (temps d’apnée x 2).
Leur teint, en général, est mat, ils ont la peau et les cheveux foncés. Par contre leurs yeux sont extrêmement clairs. La régularité et l’empressement qu’ils ont à vivre dans le milieu aquatique, les ont dotés d’une petite couche de graisse qui possède l’avantage de les rendre plus résistant au froid de l’eau. Celle-ci est parfaitement uniforme et se développe rapidement si la personne n’effectue pas assez d'effort physique. Arrivés à un certain âge, les Énolans prennent souvent de l’embonpoint.

B) TRAITS PSYCHOLOGIQUES
C’est un peuple taciturne et peu enclin aux démonstrations émotionnelles. Ils sont par contre incroyablement loyaux mais d’une rancune qui est devenue proverbiale à travers le royaume (“ rancunier comme un Énolan ! ”).
L’alcool est chez eux une compagne souvent trop présente. Quand un Énolan a trop bu, il devient d’abord très prolixe, il n’arrête pas de parler de tout, ensuite il rit ou pleure aux larmes, et en dernier lieu, il devient agressif. Ce ne sont pas des êtres foncièrement violents, mais la forte tendance qu’ils ont de boire avec les résultats que cela implique, en ont fait des gens dont on se méfie.
Quand ils sont sur l’eau, leur comportement est totalement modifié. Les Énolans ont passé la majeure partie de leur histoire locale, sur de grands navires sans presque jamais toucher terre. Maintenant qu’ils ont un port d’attache, ils vouent un attachement sans borne à ce petit royaume, mais leur patrie c’est l’océan. Ils y sont réfléchis, mais courageux ; ils y sont calmes mais heureux ; et contre toute attente, plein d’un humour tout en finesse.

C) HABITUDES CULTURELLES
Les femmes comme les hommes ont tendance à porter des pantalons s’arrêtant sous le genou. De même, les 2 sexes se battent de la même manière. Il y a quand même 2 différences marquantes, les femmes sont interdites dans les vergues, et les hommes ne négocient jamais et ne touchent à l’argent du ménage que quand ils sont séparés de leur compagne.
Comme pour continuer à vivre dans des bateaux, les habitations des Énolans sont presque toujours en bois, avec une entrée sur le haut de l’édifice. La seule manière de pénétrer chez eux est une échelle ou un escalier escamotable. Les villages constitués en majorité d’Énolans résidents, ont la particularité d’avoir plusieurs niveaux de passerelles. Ces dernières joignent les constructions les unes aux autres.

Les Léomassoudiens

Le négoce est leur credo, ils sont capables de braver n’importe quel danger pour le plaisir et la possibilité de faire fortune. De même leur sens pratique et les qualités de leurs capacités administratives, leur ont permis de se trouver à la tête de la région centrale. Cette dernière étant la plus sûre et la plus développée économiquement.

A) ASPECT PHYSIQUE
C’est la seule ethnie à posséder une couleur de peau vraiment foncée, voire noire. Leur système pileux est presque inexistant et se limite à la plus simple expression, cils sourcils et parfois cheveux.
Ils possèdent un physique particulièrement grand et sec (variation obligatoire de + 5 cm à la taille). Il est presque impossible de voir des Léomassoudiens gros ou obèses. La plastique de leur corps est particulièrement impressionnante, ils ont longtemps était victime de la noblesse Ottrota, qui les pourchassait pour devenir des esclaves de service.
Cette configuration physique possède sa contrepartie. Ils sont plus facilement fatigués dans le cadre du port de charges lourdes. Leur musculature n’est pas assez puissante.

B) TRAITS PSYCHOLOGIQUES
Si vous n’avait jamais rencontré de Léomassoudiens auparavant, vous risquez de les trouver très froids et calculateurs. Le comportement extérieur des gens de cette ethnie est particulièrement désagréable, toujours à estimer, à mesurer, à vous couvrir de regard insistant.
Mais la réalité est tout autre. Chez eux, la manipulation est une seconde nature. Leur passé d’esclave les a rendus particulièrement méfiants. Ils n’ont plus de réel danger à craindre, mais la force de l’habitude est très forte. Si vous réussissez à pénétrer cette première apparence, les Léomassoudiens sont des “ joyeux lurons ”. Ils sont les adeptes farouches du gag à plusieurs niveaux. Cette pratique est particulièrement appréciée sur tous ceux qui ne connaissent pas leur nature profonde. Hors ces traits bien particuliers, ils restent méfiants, et n’accordent que difficilement leur confiance. Une fois celle-ci acquise, il faut la conserver et cela reste une épreuve de chaque jour.

C) HABITUDES CULTURELLES
Les meilleurs combattants de corps à corps et de bâton dans le royaume sont souvent des Léomassoudiens. L’interdiction qui leur à longtemps était faite de porter ou même de connaître le maniement d’une arme, les ont porté vers l’excès inverse. Bien que n’employant aucune arme prohibée, ils affectionnent la compétition du solstice d’été et y font souvent merveille.
Il existe un secteur d’activité où les Léomassoudiens relèguent toutes les autres ethnies au rang d’apprentie : la fonction de marchand. De ce fait, si un membre de cette ethnie choisit une fonction de compagnon, il y a de fortes chances que ce soit celle de marchand. Leur tempérament méfiant les garde des trajets à risque, mais l’alliance liée avec les Blitzkrigers les rend souvent intrépides.
La recherche de profit aux dépens d’un “ gogo ” est un de leurs sports préférés. Le territoire de chasse privilégié est la plupart du temps les marches de l’Empire Ottrota. Bien que généralement guidé par l’appât du gain, c’est uniquement par rancune que ce choix est fait. Une victime de noble lignée est encore plus recherchée. Les seuls qui n’ont rien à craindre de ces gens sont les esclaves. Ces derniers peuvent attendre n’importe quelle forme d’aide de la part d’un Léomassoudien.

Les Tassmans

Les marches de l’Est sont de hautes collines couvertes de forets. C’est un territoire vaste et presque sauvage. Les Tassmans ont des préférences marquées pour la vie en plein air et les étendues vierges. En soi, le foret elle-même est une barrière fort difficile à passer pour d’éventuels raids ennemis, mais une surveillance est préférable.

A) ASPECT PHYSIQUE
D’aspect robuste et particulièrement velus, ces hommes et ces femmes ont une peau matte et des yeux légèrement bridés. De taille tout à fait commune. Ils ont une corpulence et une ossature lourdes et résistantes.
Pour on ne sait quelle raison, différentes particularités physiques sont souvent présentes chez les membres de cette ethnie. En effet, certains ont des canines très prononcées, d’autres les oreilles légèrement pointues ou des ongles déformés et pointus.
Ces différentes malformations sont dues au fait qu’une minorité importante de Tassmans est Lycanthes Loups. Pour les personnages, il est impossible de posséder cette faculté d’entrée de jeu. Par contre il y a 1 % de chance par points d’Externe, qu’elle soit latente. De ce fait, il suffit de 10 ponts d’acquisition et non pas 20 pour obtenir les capacités de Lycanthe Canin. De plus, ils n’ont pas besoin d’être conscient de l’existence des Lycanthes.

B) TRAITS PSYCHOLOGIQUES
Le sens de la famille et du groupe est pour le Tassman, sa raison de vivre. Sans ce sentiment d’appartenance à un groupe, les Tassmans se sentent perdus ; ils peuvent même en perdre la raison. Comme tout le monde, ils ont un point de chute, une maison ou un village ou ils apprécient de se retrouver fréquemment.
Ils se sentent parfaitement libres quand ils sont en extérieur et ne supportent qu’un petit nombre de personnes avec eux. La chasse est pour eux un excellent moyen de subsistance. Le retour au bercail ne s’effectue qu’une à 2 fois par an et ce pour une durée ne dépassant jamais 2 mois. À l’opposé, les déplacements qu’un Tassman effectue sont de peu d’ampleur quand il a des responsabilités familiales. En effet, les enfants en bas âge restent jusqu’à l’âge de 13, 14 ans à la maison. L’éducation est produite par tous les éléments de la communauté, même les personnes extérieures à la famille interviennent en certaines occasions.
Les Tassmans donnent leur confiance à tout le monde. Si vous arrivez dans le besoin, personne ne vous refusera rien. Mais gare à vous si c’est pour les tromper, ou leur faire du mal. Car s'ils ne sont pas aussi rancuniers que les Énolans, ce sont tous les membres de la communauté qui peuvent réagir.

C) HABITUDES CULTURELLES
Ils ont respect presque ridicule de la vie animale. Bien qu’étant des chasseurs hors pair, ils ne tuent que pour leurs besoins immédiats. Ceux qui choisissent la carrière de trappeur bénéficient d’une dérogation particulière, pourtant, même eux se contentent du minimum et sans détruire pour rien. Le patrimoine et les espèces sont surveillés afin d’éviter tout dérapage. Il est conseillé aux personnes extérieures à ethnie de faire de même…
Pour la vie de tous les jours ce sont des gens simples préférant le rustique à l’élaboré. Leurs constructions sont presque systématiquement en bois.

Les Tatankas

En 215, une vallée de la Cordillère du Rempart est colonisée par un petit groupe de toutes les origines ethniques du royaume de Talaris. Après plusieurs années, la responsabilité de la région est donnée à une race non-humaine locale, les Tatankas. Ce peuple aux techniques assez peu évoluées, est un allié exceptionnel pour le royaume. Leur puissance physique doublée de leur incroyable tolérance envers leurs concitoyens humains semble presque invraisemblable.

A) APPARENCE PHYSIQUE
Les Tatankas sont des cousins des Minos. Ils ont aussi une composante animale, en l’occurrence, le bison ; comme les Minos, ils ont 4 bras et ils sont muets télépathes. Pour donner une idée de leur apparence physique il faut imaginer un bison sur ses pattes arrières, 2 énormes colonnes musculeuses, un torse d’une largeur telle qu’il faut s’y mettre à 2 pour faire le tour, 2 paires de bras épais comme les cuisses d’un sprinter, et une tête triangulaire immense ornée de 2 cornes, “ courtes ”, mais épaisses.
Un individus de cette race, à l’âge adulte, mesure entre 2,5 et 3,3 mètres, pour un poids de 230 à 350 kilogrammes. Ils ont une teinte de pelage brun foncé à l’âge juvénile, pour devenir marron noir à l’âge adulte.
La mode vestimentaire est très simple, elle est très comparable à celles des Indiens d’Amérique. Un pagne recouvre l’entrejambe, retenu par une ceinture de cuir mâché ou de fibre naturelle tressée. Les vêtements chauds sont fabriqués en laine tissée, et colorés de couleurs vives. À titre de protection, ils affectionnent le cuir de tropocarne sur lequel a été fixé des morceaux de bois travaillés.
Bien entendu, ils n’utilisent pas de chaussure, leurs pieds finissent par un sabot. Depuis qu’ils ont rejoint le Royaume de Talaris, ce dernier reçoit presque systématiquement un fer équivalant à ceux des chevaux.

B) ORIGINES
Cette race est relativement récente, elle n’a pour ainsi dire pas eu de contact avec les hommes. L’inhospitalité de la Cordillère du Rempart est telle, qu’ils ont pu survivre et atteindre un certain nombre d’individus sans rencontrer de problèmes notables.
Ils sont incapables de décrire l’origine de leurs mœurs, pourtant le premier Tatanka n’est apparu qu’il y a 300 ou 350 ans. Du point de vue biologique, les érudits savent que la race Minos produit souvent des déviances. Mais ces dernières sont toujours éliminées à la naissance. Les Minos ne sont pas particulièrement tolérants. L’opinion générale affirme qu’une ou plusieurs femelles de cette race ont procréé des juvéniles ayant des traits communs et les ont abandonnés dans la nature.
La plus grosse inconnue provient donc des êtres qui ont permis la survie des premiers Tatankas et qui leur ont inculqué leurs bases culturelles. En fait, les réponses à toutes ces questions prennent place dans une petite campagne qu’il vous reste à découvrir.

C) HABITUDES CULTURELLES
Tout ce que vous savez des amérindiens est à reproduire ici, les pow wows, les tipis, les rites funéraires, etc. Malheureusement, le niveau technique est assez faible, les Tatankas ne maîtrisent que la pierre polie, il en découle une certaine perte par rapport au modèle original.
Ils vivent en clans aux relations plus ou moins bonnes. Mais plutôt que la violence sous forme de bataille rangée, ils affectionnent le défi physique et le cas échéant le duel. Les rares cas ou l’on peut les voir se regrouper pour se battre, c’est quand il faut éliminer un groupe de tropocarnes qui devient trop menaçant, ou une tarasque qui pénètre sur leur territoire.
Bien entendu, depuis qu’ils sont entrés dans le Royaume de Talaris comme membres à part entière, ils ont développé de nouvelles aptitudes et connaissances. Mais ils restent fidèles à leurs anciennes habitudes et peu d’entre eux se sédentarisent complètement pour habiter les constructions de pierre.

:lol: et un seul fait des exploits hors pairs que cette sous race d'humain ne peut accomplir, MOI