Il ne dort pas, il ne peut pas, ne peut plus.
Depuis qu'il a trouver l'artefact, qu'il l'a annoncé au dieu noir, il attend le moment de l'utiliser.
Quelle chance il a eu, peut être pas que de la chance d'ailleurs, un peu de haine transposé dans sa gestion de l'affaire. Pas de quartier pour les "affamés" qui gardé son "bébé", de la torture jusqu'à la fin pour avoir le renseignement manquant, de la torture et du massacre.
Enfin, il est là, avec lui, c'est lui qu'il l'a trouvé.
Et maintenant il va le mettre en fonctionnement^pour le plus grand plaisir d'IZRADOR, et le sien.
Il se repose dans cette forteresse, au bord de la PELLURIE, personne pour l'embêtter.
Et pourtant, au milieu de la nuit, cette clameur, que se passe t-il?
les orcs hurlent, les gardes elfiques de la légion noires hurlent, les humains hurlent, mais ces autres cris que j'entends, ceux qui n'expriment pas la peur, pas de crainte, ils sont à l'unisson, se rapprochent, et arrivent.
Ceux là, à qui appartiennent-ils?
Trop tard pour comprendre, ils sont là, dans ma chambre, me regardent, avec ce regard qui en dit long sur leur détermination, rien ni personne ne les arrêtera, ne "négocieront" pas, ils me regardent de ce regard doux de ceux qui compatissent, et inflexible de ceux qui vont faire ce qu'ils ont à faire.
Ca y est, tout est noir, je me sens léger, n'est rien senti, je m'endors, juste le temps de voir le "batard" dont j'ai entendu parlé se retourné et me regarder, avec ce sourir de satisfaction de l'action accomplie...
Sujet: le dévôt 
